Intervention de Laurence Motoman : communication relative au rapport d’activité 2020 de la commission d’évaluation des politiques publiques (CEPP)
Monsieur le président, cher.e.s collègues,
Nous saluons le volontarisme de la Région et l’engagement de son président pour le soutien à la politique d’évaluation des politiques publiques, concrétisé dans la création de l’unité évaluation de l’inspection générale des services, celle de la CEPP et les moyens alloués pour remplir les missions évaluatives.
L ’évaluation des politiques publiques ne doit pas être considérée comme un examen, évaluant un.e élu.e ou un service, mais plutôt comme un outil d’évolution qui questionne la pertinence, les effets et les pistes d’améliorations pour répondre ; voire anticiper, les besoins des bénéficiaires, des services et des élus en aidant la décision.
La CEPP, par son travail collectif, contribue à des approches plus transversales, notamment en proposant des sujets d’évaluations concernant plusieurs pôles. Ce qui entraîne une dynamique de coopération entre les services et les élus ; et participe à une meilleure connaissance et efficacité des dispositifs régionaux.
Concernant son rôle de diffusion de la culture de l’évaluation, la CEPP a bien avancé.. mais il reste du chemin à parcourir, pour que chaque élu la considère à sa juste valeur et s’en saisisse. Plusieurs perspectives d’amélioration ont été proposées par Clément Lacouette Fougère et je vous invite à les découvrir dans ce rapport, si vous ne l’avez pas lu.
Depuis trois ans, nous sommes accompagnés par les services de l’inspection générale des services que je remercie dans l’ensemble et plus particulièrement Caroline Calbo, Benedict Lexton et Pierre Paquiet qui ont su nous initier à cette discipline technique et passionnante.
Je vous remercie.
[Seul le prononcé fait foi]